Le candidat de l’Algérie pour le poste de commissaire de l’Union africaine pour l’éducation, la science et la technologie, le professeur Belhocine Mohamed, est pratiquement assuré de rejoindre Addis-Abeba où se trouve le siège de l’organisation panafricaine.
Selon les échos en provenance de la capitale éthiopienne, l’Algérie a mis tout son poids pour permettre au professeur Belhocine, dont les compétences sont indéniables, de décrocher le poste que convoitaient de nombreux pays. D’après certaines sources, « la sélection des nouveaux commissaires de l’UA a parfois viré au corps à corps entre Alger et Rabat ». Avec ce succès, l’Algérie met fin en quelque sorte à sa politique de la chaise vide au sein de l’Union africaine.
Au lieu de cela, Alger a préféré soutenir d’autres candidats. L’on croit savoir aussi qu’il y a foultitude de postes intermédiaires qui reviennent de droit à l’Algérie mais que personne à Alger n’a pensé à pouvoir. Là aussi, le moment est venu de reprendre les choses en main.